Voilà un roman qui se prête particulièrement bien à la période qui suit les fêtes de Pâques et le Printemps. Période qui symbolise le renouveau, la paix et la joie. C’est la sélection de Lolotte de ce début du printemps.

imageConseillé par Guillaume Henry, lui-même, il est préférable de ne pas lire la quatrième de couverture. L’intrigue ainsi conservée, vous pourrez apprécier et vous laissez transporter au fil des pages par l’histoire de ce roman.

Guillaume Henry, écrivain, historien du cheval et de l’équitation, éditeur, et instructeur d’équitation (formé à Saumur) attribue une place majeure au cheval dans son roman « Les chevaux du vide ».

Le premier paragraphe de la quatrième de couverture peut toutefois être dévoilé : « Le titre de ce roman, «  Les chevaux du vide » fait référence à une calligraphie du maître zen Taisen Deshimaru (1914 – 1982) intitulée «  Le cheval du vide », représentant un cheval dans un grand espace blanc. Pour les bouddhistes, le vide (qui n’est pas vide, mais plein) représente la vacuité. La vacuité est en chacun de nous, comme le silence dans une pièce bruyante. Il « suffit » d’enlever le bruit, de retirer ce qui le couvre, pour le découvrir. L’Homme est alors éveillé. »


Ce livre est émouvant, il s’agit d’un véritable parcours initiatique plein de sagesse
. C’est une forme d’introspection initiée involontairement qui conduit à l’éveil. Un éveil qui marque la prise de conscience du « soi ».

Voilà je ne vous en dis pas plus, bonne lecture !

Autre article dédié à ce livre sur le site « Mon cheval me dit » par Antoinette Delylle, auteure et journaliste équestre. Voici le lien vers l’article rédigé par Antoinette: Guillaume Henry signe un roman fantastique sur la voie du cheval

« Wouafmicalement »,

Lolotte

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